Il est temp de régler ses comptes ... [Pv Sir Walheigh Mondresham]

Il était aux alentours de midi, en ce jour les couloirs qui menaient aux appartements de la cour était d'une chaleur étoufante, heureusement pour lui, Sir Jack-Edward n'avait que qu'une centaine de metres a faire avant d'atteindre sa déstination.Cette matinée commencait bien mal pour lui, il fallait qu'il mette les choses au point.

Il marchait d'un pas agité, il avait mis son si habituel pantalon noir accordé avec sa chemise bouffante bleu et noir parsemer de fil d'or aux épaules.Beaucoup de serviteurs qui le voyaient arriver remarquaient son regard plus obscur que celui qu'il avait d'habitude et essayaient de passer le plus loin possible de sa personne
Il était en effet plus énervé que jamais le moindre de ses gestes étaient brusques et finissaient toujours dans un objet.
Il croyait surement que taper dans une vieille armure de décoration ou dans un des écussons qui pendaient au mur calmerait sa colere.

Mais non, son visage crispé ne s'adoucissait pas et ses yeux étaient de plus en plus noir de haine.

Il arriva finalement devant une grande porte sculptée, il ne l'avait pas passé depuis 2 ans et cette derniere fois il s'en souvenait comme si c'était hier, il ressortait plus heureux que jamais et avait meme ouvert pour l'occasion une de ses rares bouteilles de champagne.
Il y a deux ans, Sir Walheigh Mondresham quittait l'Anglesham pour longtemp.Il y a deux ans il devenait le seul a pouvoir aider la reine a administrer parfaitement le royaume.Il y a deux ans il devenait indispemsable.

Mais aujour'dui, il était de retour et il massacrait le pouvoir qu'il avait gagné, fini les libertés sur le protocole ou dans ses paroles avec la reine, finit les heures de flemmardise dans son bureau.

Il se trouvait donc devant la porte des appartements de son pire ennemi politique, il commenca a prendre de l'élan pour frapper a la porte et s'arréta net.

Il ouvrit alors la porte d'un grand coup, Sir Walheigh Mondresham était alors à son bureau entrain d'écrire on ne sait quelle paperasse administrative.

Jack-Edward n'hésita pas il ferma la porte a clé, il ne regarda rien autour de lui et marcha rapidement vers le fauteuil devant le bureau.

Et il s'assit s'y assit alors, là à quelque metres d'un homme dont il ne supportait pas la présence.

Bonjour Mondresham, je ne te demandes pas comment tu vas.. Car je m'en fiche, je suis juste venu savoir ce que tu reviens faire ici, à par bien sur me pourrir l'éxistence au plus haut point

En effet, le brave et sage second de la reine était à son bureau, occupé à écrire une lettre de commission pour le messager de l'Allmonta. Il était revenu le matin même au château, et, après s'être retiré d'auprès de la reine, il était directement allé à son bureau, régler quelques affaires qui paraissaient pour le moins urgentes.

Les retrouvailles avec la reine avaient étés très brèves mais pas moins emplis de sentiments, que ce soit de la gratitude, du soulagement, mais, aussi, pour Walheigh, de la joie à retrouver le pays et son poste, ainsi que la splendeur de celle qu'il servait. Bien vite, il avait reprit ses habitudes, avait recommencé à porter les habits de l'Angleshame et donné quelques conseils ombragés à Sa Majesté.

Mais actuellement, il était donc dans son bureau, bien occupé.
Il se demandait d'ailleurs pourquoi le fourbe Foster ne l'avait pas encore rejoint, lui qui devait se faire une colère noire de voir resurgir Walheigh de nulle part et qui avait dû ouvrir les paris sur sa mort en pays étranger.

C'est à ce moment-là que la bête enfonça la porte. Quant on parle du loup, voilà le chacal. Le rusé et rageux Foster faisait son apparition dans la pièce, sans aucunes politesses. En voilà, un bien mauvais sujet !

Walheigh releva alors la tête, au fracas de porte, et haussa simplement les sourcils, jetant un oeil à celui qui venait d'entrer. D'un air tout à fait calme, très neutre, même avec un léger sourire acceuillant, il dit simplement

"Sir Foster."

L'homme en question ferma la porte à clef derrière-lui et s'assit sur le fauteuil, en face du bureau de Monsieur Mondresham.

Puis le jeune fripon commença à parler, sautant bien evidemment toutes les politesses d'usage. Se redressant dans son fauteuil, Walheigh le regardait avec sagesse et calme, comme un vieux chien qui s'exaspérait des japements colériques d'un jeune cabot plein d'énergie et de rage à revendre.

Il dit d'une voix calme et amusée

"C'est un grand plaisir pour moi de voir que tu n'as pas oublié de me souhaiter le bonjour. Bon jour, certes, puisque fort bien acceuilli de toutes parts."

A moitié ironique, mais également bien vrai. La reine et ses suivantes avaient montré de l'enthousiasme à revoir paraitre Sir Walheigh au château. Ce dernier continua, pour répondre à son interlocuteur, toujours très posé

"Comme tu le sais, je n'ai ni été exilé, ni été envoyé en pays étanger à perpétuité, Sir Foster. Je suis parti par devoir, faire mon travail, rien de plus. Or, mon travail est terminé dans le pays où je me suis rendu, et je suis là.
N'oublions pas que mon poste est ici, auprès de Sa Majesté.
Libre à toi de prendre ça comme la pourriture de ta faible existence."

Il sortit une bouteille de rhum de son bureau et l'ouvrit. Il se servit un verre, et, haussant les sourcils, il demanda, un sourire aux lèvres

"Tu en veux ?"

(HJ : XDDD Excellent les deux protagonistes)

Comme il s'y attendait Jack-Edward trouva face a lui un homme plus que calme et posé, alors que face a lui se trouvait un chien enragé.Mais bon il s'était habituer à parler a ce mur froid que rien ne peut ébranler.
Mais tout de meme il aurait pensé que lui il n'aurait pas oublié le caractere et la facon de pensé d'un homme avec le quel il s'était tant de fois disputé notament au sujet de la politesse.

Allons, ne me dit pas que tu as déja oublié que pour moi cette politesse et ce protocole ne servent a rien si ce n'est à compliquer encore plus les relations entre les gens, mais je t'avoues que je fais un effort en disant bonjour maintenan.

Il fit un sourire narquoi et regarda autour de lui, le bureau était éxactement comme dans ses souvenirs, si rangé, propre et organisé éxactement le contraire du sien
En faite Walheigh et lui n'était que l'éxtreme opposé de l'autre.

Par contre je vois que tu n'as pas changé, toujours ton humour sarcastique, et cette manie d'ordre.

Il fallait voire la scene digne des plus grande tragédie de l'époque les deux protagonistes se fixaient, si l'un était toujours un jeune cabot qui ne faisait qu'aboyer au lieu de mordre l'autre était un vieux chien sage et soumit à son maitre.
Toujours posé et calme, ce qui augmentait d'autant plus l'énervement du premier conseiller, Walheigh répondit a sa question par une magnifique réplique qui en aurait fait taire n'importe qui.
Mais aucun des deux hommes n'étaient une de ces personnes que l'on croise tous les jours dans la rue ou encore dans les couloirs du chateau.

Faible éxistence peut etre, mais elle me convient largement et m'est trés utile... Et la preuve est ici sans cette pauvre déstinée je ne serait pas entrain de parler au second de la reine.

Il le vit alors plongée la main dans son bureau à cherhcer un objet, il en sortit une bouteille de Rhum.
Jack-Edward fit un léger rire en le voyant prendre les verres et lui en proposer.Finalement il ne l'avait pas oublié, il se souvenait des détails qui tenait la vie du premier conseiller.
Enfin si l'on pouvait considérer l'alcool comme un simple détail dans la vie de Sir Jack-Edward.

Je te laisse deviner ma reponse! Enfin sauf si bien sur tu as mis de l'arsenic ou autre potion de mort dedans.Ca me chagrinerais tu sais trés bien qu'on ne mélange jamais un Rhum ca serait le gaspiller.
Finalement tu te souviens mieux de moi que je ne le pensais.
En attendant parlons de choses serieuses.Comment était l'Allmonta et que y faisais tu ?

Il souriait plus qu'il ne l'avait jamais fait, meme si le retour de son pire ennemi politique ne pouvait lui apporter que des ennuis, quelque part il le respectait plus que tout autre, peut etre meme plus que la Reine.Il avait enfin un ennemis à sa taille.
Il y allait enfin avoir un nouveau défis dans sa vie qui devenait de plus en plus plate, ainsi le moindre rebondissement était écrasé par la crainte qu'il aspirait seul la Reine lui tenait tete.
Et une vie aussi calme ne pouvait lui convenir...

(HJ : Ouai ca promet ^^ )

Walheigh écoutait à chaque fois les réponses chargées de piques de Foster, sans broncher. Il le regardait toujours en face, dans les yeux, sans rien ajouter. Avec son statut, il ne craignait absolument rien de personne. Après tout, c'était l'homme le plus puissant d'Angleshame, non ? La seule personne qui craignait, c'était la reine. Elle qui avait le pouvoir, en un mot, de le faire mener à la tour. Mais l'ayant toujours conseillée avec sagesse, comme il l'avait fait pour sa mère avant elle, il n'y avait pas de raisons.

Contrairement à Foster, il était indéracinable du palais. Personne ne pouvait le faire tomber. Et, a chaque fois que des assassins essayaient de s'en prendre à lui, ils se heurtaient à un mur, et, la plupart du temps, se retrouvaient morts à la place de celui qui aurait dû être leur victime.

Tant pis pour eux.

Lorsque Foster lui dénonça sa manie de l'ordre, il répondit seulement, avec calme

"L'ordre est ce qu'il y a de meilleur pour une bonne organisation.
Tout comme les rangs sont hiérarchisés, nos actions dépendent du bon fonctionnement de notre travail. Or, je travaille bien mieux dans un endroit ordonné, c'est ainsi."

Puis, lorsqu'il proposa du Rhum au conseiller, il écouta sa réponse, tout en lui faisant couler de l'alcool dans son verre. Puis il lui fit glisser le récipient vers lui, avant de ranger la bouteille. Tenant son verre, prêt à boire, il haussa les sourcils, un sourire aux lèvres, regardant Foster. Il ajouta donc

"Je n'aime pas les coups bas, tu devrais le savoir, depuis le temps.
Quitte à tuer quelqu'un, autant le faire en face, directement. C'est ma politique."

Puis, alors que Foster lui disait qu'il était presque étonné de voir qu'il se souvenait aussi bien que lui, il répondit avec calme

"Comment oublier ta manie de l'alcool après tant de fois retrouvé sans pouvoir t'en passer ?"

Enfin, son interlocuteur en vint à demander comment était l'Allmonta, et ce qu'il y avait fait. Après avoir bu une gorgée de son alcool favori, Sir Walheigh répondit alors, avec douceur

"Eh bien...l'Allmonta est un bien beau pays. Malheureusement pour son peuple, il est gouverné par un roi incapable et malaimé. C'est grâce à mon statut que j'ai pu m'en sortir indemne, car là bas, les conflits religieux font rage... Heureusement que le pays est une de nos colonies, cela le calme certainement fort bien. Il y a là bas de nombreuses dépendances à l'Angleshame. Les habitants semblaient ravis de voir que notre pays cherchait à s'occuper d'eux. Beaucoup d'entre eux vouent un culte phénoménal à Elizabeth IV, bien plus qu'à leur propre roi... Il n'a donc pas été difficile pour moi de m'intégrer...

Apparemment, la politique s'est largement arrangée après mon passage, et, actuellement, les relations se passent bien mieux. J'ai été envoyé afin d'arranger la communication entre les deux pays, adoucir le peuple et arrondir les angles de leur fâcheuse façon de gouverner...

Les résultats sont désormais plus que positifs pour l'Angleshame.
Cet allié est désormais inébranlable."

Cela faisait bien longtemp qu'il n'avait pas eu une discussion aussie passionante, il était comme entrainé dans cette joute orale.Qui meme si elle ne se passait que depuis quelque minutes elle paraissait durer des heures.
Fatidiquement et par reflexe, Jack-Edward se mit a tortiller son bracelet d'argent qui tombait a son poigné.
Il comprit vite son erreur, il s'arréta net en se demandant si Walheigh avait remarqué et meme si il se souvenait de l'éxplication de ce geste récurrent chez Jack-Edward.

En effet le stress commencait a se faire sentir, il comprenait que le retour de Walheigh, l'avait nettement rapproché de la hache.
Il fallait se calmer et trouver le moyen d'affirmer sa place au chateau.

Son concurrent finit par lui répondre que l'ordre était le meilleur moyen de diriger ce n'était pas la peine de continuer sur ce sujet de toute facon il ne serait jamais d'accord.
La discussion recommenca alors autour de la bouteille de Rhum.

Il est vrais que régler ses problemes avec les autres face à face est la facon la plus honorable.Je me souvien d'ailleur de beaucoup de tes duels, et si tu n'as pas changé tu es bien meilleur que moi a l'épée.

Il prit alors sa premiere gorgé, le rhum était frais et juste sucré comme il le fallait

Mhh délicieux il faudra me donner le nom de ton fournisseur.
En attendant des fois les personnes avec qui tu as un différent sont hélas bien plus puissante que toi et protégés par des haut notable parfois meme par la reine.
Les tuer en duel te rammenerais à te condamner aussi.
Alors il est des fois préférale de faire ca discretement

Il sourit, fier de l'allusion qu'il venait de faire meme si il savait que Walheigh était des plus posé, il ésperait lui avoir fait perdre un peu de sang froid.
Puis la disscussion conitnua autour de l'alcool

Ah que veux tu, la boisson est surement la seule vraie amie qu'il me reste en ce jours, si je ne compte pas mon chien et encor ca reste a vérifier.
Peut etre un jours me mordra t-il alors que je lui donnait sa nourriture.

Et tout continuait comme ca, mais le conseiller n'arrivait pas à oublier sa fichue mani du bracelet il fallait démontrer qu'il avait encore une place forte dans le chateau, meme si elle était éfrité, quand la discussion tourna sur l'Allmonta c'était le moment révé.

Oui, j'ai remarqué les améliorations de nos relations, nous vendons de plus en plus de produits de bases ainsi que de produits manufacturés à l'Allmonta.Meme si je me demande combien de temp durons leur trésorie à cette allure.

Enfin bon....

Il esquissa un sourire de fierté et se mit les bras croisés sur le bureau afin de se rapproché du second

Connais tu la différence entre le second et le conseiller ? C'est vrais c'est deux poste on toujours coéxistés mais pourquoi sont-ils là ?

Eh bien je vais te le dire.L'un est homme de l'ombre l'autre est homme de publique.
Alors que tu es toujours avec sa majesté, moi je suis un lien direct avec le peuple.
Meme si en 25 ans tu as réussi a te faire aimer du peuple j'ai réussi à en faire tout autan que toi si ce n'est beaucoup plus en quelque années

Voila 3 ans que j'enchaine des discours devant des milliers de personnes ou encore ces bals ou fetes bourgeoises des plus ennuyeuses pour parfaire l'image de la reine car c'est en partit mon travail.

Il bu une derniere gorgée et soupira

Enfin que vaut la population, tant qu'elle ne comprend pas que tous ensemble ils sont plus puissant que n'importe quelle monarque ils ne sont un danger ni pour moi ni pour toi mais c'est juste pour dire que si je venais a perdre mon poste une vague de manifestation pourrait bien se déclencher meme si elle ne dura pas elle pourras bien causer de grand dégats surtout qu'on ne sait pas qui serait au commande de ses foules enragées

Il souria encore une fois plein de ruse et but la derniere gorgée de ce fameux Rhum avant de replacer son verre sur le bureau.

Tu veux surement savoir comment c'est dévellopé la cour en ton absence, en deux il s'en est passé des choses comme par éxemple, le démentellement d'un complot contre la Reine il y a 7 mois.

Oui j'ai eu une info sur un noble qui n'était pas net, je l'ai fait arréter et il a dénoncé tout le groupe, quand j'y pense, tout ces nobles gens prés à commetre un tel acte.

Il y avait d'ailleur dans le lot Sir William de l'Era et Sir Jhon Holmes .Il ont tous été envoyé au galere du Sud et y sont encore si ils ne sont pas mort

En disant ces noms il se sentit plus sur de lui en effet les noms cités étaient certain des plus grands soutients de Walheigh mais aussi de bon amis à lui, ils s'étaient fait condamner dans cette hisoire.

De plus étant la personne au centre de ce démentellement tu comprends bien que ma cote a largement augmenté auprés de la Reine mais aussi de la cour ainsi maintenan des noble dont je n'ai jamais vu le visage me font la révérance et me dise de leur demander de l'aide au moindre probleme.
Tu les verrais c'est a mourrir de rire tant d'hypocrésie.

Décidément, Foster n'avait pas changé, et affichait un sourire satisfait à chaque fois qu'il croyait que ses paroles avaient touché Walheigh. Le second de la reine regardait toujours le conseiller d'un air neutre, haussant les sourcils. Apparemment, on aurait dit que ce dernier essayait de se débattre alors qu'il nageait dans un océan rempli par le pétrole. On aurait dit qu'il entassais paroles sur paroles pour paraitre sûr de lui et être certain de ne laisser passer aucune failles.

Le problème, c'était que tout ce qu'il disait, ou presque, était tout à fait ridicule. Comme préciser le fait que tuer des gens de haut rang le condamnerait. Attendez un peu. Avait-il dit qu'il voudrait tuer ? Non, pas du tout. Ainsi, Foster ne faisait que s'enfoncer, encore et encore.

Pour le lui faire comprendre, Walheigh dit simplement, d'une voix neutre

"Je n'ai jamais eu l'intention de me battre avec qui que ce soit, Sir Foster."

Lorsque Sir Foster le complimenta sur le Rhum, il dit simplement

"Ah, le rhum ? Je l'ai rapporté de l'Allmonta. Ils ont de fort bonnes productions, à même le pays."

Puis Foster s'engagea sur son mauvais chemin. Que lui prenait-il de parler d'amis ? Waleigh profita que le conseiller s'élance lui-même sur une piste dangereuse pour retourner ses paroles contre lui

"En effet, même ton chien pourrait se retourner contre toi, Sir Foster. Tu n'as pas plus d'amis que de bon sens. Sans personne autour de toi, qui pourrait te regretter, si tu passes sous la hache ? Ne crois tu pas que tous les gens avec qui tu es désagréable seront bien content de voir ta tête trainée sur le sol de la ville ?

Tu essaye sans arrêt de te mettre les gens à dos... Tu n'es pas fort malin."

Evidemment, Walheigh remarqua que la manie de Foster de triturer son bracelet était revenue au gallop. Sans doute se sentait-il mal à l'aise. Pas etonnant. En essayant de se sortir du pétrin où il s'était lui-même jeté, il ne faisait que paraitre plus faible encore, comme quelqu'un qui sortirait n'importe quels mots, posés au hasard, pour s'en sortir comme il peut.

C'était un peu ça, apparement. Faute d'arguments, il laissait entendre quelques paroles sorties de leur contexte, afin de paraitre imposant.

Ainsi, comme s'en était douté Walheigh, Foster continua sur cette histoire de conseillers et de second. Lorsqu'il lui demanda s'il connaissait la différence, le second répondit, calmement

"Oui."

Mais Foster continua, sur sa lancée, blablatant sur l'ombre et celui qui était dans la lumière, et tout cela. Walheigh se retint seulement de lever les yeux au ciel, et ajouta, simplement

"Où veux-tu en venir ?"

Puis Foster affirma que s'il venait à perdre son poste, tout le monde serait mécontent. Avec tous ces gens qui le détestaient pour ses manières d'ordures ? Non, personne ne se manifesterait pour une personne comme lui, et il devait le savoir. Il n'essayait même pas de faire bonne figure. Alors quoi ! Les gens n'étaient pas dupes. Walheigh répondit alors, toujours aussi calme

"Sir Foster. Les gens ne t'aiment pas, tu le sais. Es-tu au moins conscient de la façon dont tu les traites ? Si tu ne te calmes pas, personne n'ira de ton côté, cela est certain..."

Lorsque Foster cita deux noms qui faisaient parti des amis de Walheigh, celui-ci pinça légèrement les lèvres, haussant les sourcils, et ajouta

"Tu sais aussi bien que moi qu'ils étaient innocents.
A quoi bon découvrir des complots, si tu ne fais pas la justice et la vérité...
Tu es tout simplement ridicule, et pitoyable.

Si en faisant cela, tu espere m'atteindre, c'est raté.
J'ai bien plus d'ancienneté et de pouvoir que toi. Rien ne peut me renverser sinon renverser la reine elle-même. Et tout le monde sait pertinemment que si Sa Majesté tombe, tu tomberas aussi. Si tu perdure à ce stade du pouvoir, c'est qu'elle est là pour éviter ta chute. Mais le peuple se fera un plaisir de donner fin à tes actions néfastes si jamais leur souveraine n'est plus là pour les guider."

Il ajouta ensuite

"Mais ne t'en fais pas, Sir Foster.
Je n'ai jamais dit que je te ferai tomber. Je crois que ton statut te monte à la tête, tu dois être un peu... Paranoïaque, non ? A moins que tu ne demeures fatigué."

Il se leva et ajouta

"A moins que tu ne veuilles essayer de t'enfoncer encore plus dans le pitoyable de tes dires qui ne font que te noyer au lieu de te sauver la mise... Je te proposerai de finir ton verre et de sortir de mon bureau...

La reine m'a chargé de quelques affaires..."

Il eut un léger sourire calme

"Je n'aimerais pas avoir du retard"

Il écouta, chaque répliques qui émmanait du mur qui se trouvait devant luin un mur froid glacial meme, aucun sentiments aucune réactions humaines.Juste des yeux qui le fixait et un esprit fait de réthoriques, de réparties et de logiques.

Ainsi chaque chose qu'il disait lui était renvoyé en pleine figure d'une facon implacable.
Il fallait l'admettre il avait perdu la bataille, mais pas la guerre.
Il reviendrait a la charge un jour surement, quand l'obligation se fera sentir.
Tout comme cette foi la il savait bien avant meme d'entrer dans le bureau ce qui allait se passer, Walheigh était bien plus doué que lui et il le savait mais il fallait régler les vielles rancoeur et montrer à son adversaire qu'il était toujours présent, meme en prenant le risque d'augmenter la haine qui régnait entre les deux hommes.

Quand il eu finit il le convia à sortir, il attendait que ca il fallait mettre fin a ce massacre.
Il se leva donc, mais prit la parole une derniere fois

Il est vrais que je n'ai que trés peu d'amis et je m'en contente, c'est une préférence etre entourée de gens ne ma jamais rien apporté si ce n'est des problemes.Et il est aussi vrais que je me met des gens à dos que veux tu nous ne sommes pas parfait moi le premier.

Quand au peuple ne t'inquiete pas il ne me deteste pas mais il ne m'aime pas crois tu vraiment que je parles en public comme je te parle là.Eh bien non meme si j'ai horreur de ne pas dire ce que je pense j'ai du souvent me soumettre au politiquement correct celui qu'ils aiment ou detestent n'est qu'une image que j'ai donné.Et ne croit pas que mon caractere se reflete dans ma politique je traite du mieux que je peux le peuple.Je ne suis une "ordure" qu'en privé.Car il n y a que la que je me révele

Il se retourna alors et marcha vers la porte d'un pas rapide, il placa sa main sur la poignée mais avant de la tournée il se retourna une derniere fois

Encore deux choses avant de me voire partir.
De un si je suis toujours à ce poste ce n'est pas par clémence de la Reine, ca doit faire d'ailleur bien longtemp quelle reve de me voire nettoyer son parquet, mais parce que je suis un trés fin stratege que ce soit économique qu'en diplomatie éxterieur, c'est là notre seul point commun, c'est aussi pour cela que ton retour me pose des problemes demande à ta maitresse comment était mon comportement pendant c'est deux ans et tu verra.

Et enfin, tes amis si je les ai mit dans cette liste de comploteur ce n'était pas pour te faire du tort je n'y aurais rien gagné mais j'aurais pris énormément de risque pour rien.
Non si je les ai inscrit c'était simplement qu'ils en voulaient à ma vie craignant que ton retour soit plus que tardif, ils se sont jeté dans la geule du loup.
Et de plus je ne tue et ne fais jamais tuer quelqun je trouves toujours des compromis.

Que tu le crois ou non j'ai encore un léger code d'honneur envers les autres et toujours je le respecte.Sur ce....Aurevoir Sir.

Il fit une révérence ouvrit la porte et la passa.Une fois dehors il s'appuya contre le mur et soupira, ces prochaines semaine risquaient d'etre plus que mouvementées, et à cette idée il fit de nouveau son sourire.Il aimait les défis dont l'enjeux était plus qu'énorme.Car là c'était sa vie qu'il jouait.

*Allez retrons au bureau, il est grand temp que je relise ce vieux livre des protocoles je les ai tous a réapprendre, je vais en avoir besoin*

[SUJET TERMINE]

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